Après Faiseur de rêve et Papier de soi , je vous propose d’écouter la sixième lettre, « M » comme Mur invisible , un texte aussi court que grinçant…
Ecrire le livre... Tanchée Publish at Calameo or read more publications. ... pour pouvoir le refermer ... Ne plus écrire Coucher des silences sur un lit de pages blanches et se mettre à rêver
Version audio 30.04.2013 musique : Vilnius.hang sur Jamendo.com
...si je ne suis plus très présente ces temps-ci... C'est à cause de ça :
L’aube t i r e u n e c o u v e r t u r e d e b r u m e sur les cimes encore endormies la chimère inanimée de la nuit garde encore quelques instants les sapins prisonniers
Je peins Des silences Sur l’étoile de mes nuits
Transports public s - deux blogs en un un petit coffret plein de trésors pour tous ceux qui prennent le train, et pour les autres aussi d'ailleurs Le blog du dedans le blog du dehors Partage , la toute nouvelle catégorie de mes coups de coeur
Un cœur qui bat qui s'ébat se débat qui cogne, coule et roucoule qui s'orage ou s'éclaire ou se terre à taire Un cœur qui d’émois se bat pour toi
Poétiser Poser sur le papier Des mots A l'encre sauvage Pour que naisse de leur Auréole et d’entre les espaces la Musique Abandon du moi Harmonie d’émois Pour un dialogue Entre les âmes
D’un pas las Gravir Les marches des soupirs Qui s’élèvent au dessus De l’amer de là où L’âme louvoie Entre les volutes des ères rances Parsemant de poussière d’hors Le plain océan Des rêves essoufflés
Poser les deux mains Sur l’écorce du fruit Universel Et l’écouter A travers chaque pore Respirer Sentir battre le chœur De l’atemporalité Laisser À flanc d’un lisse silence L’ongue de pierre Raconter Son éther nitée* * Cf: La Fontaine, fable IV, 22 ©...
L'Or Ange de l'Aurore Éprend le temps Et les ombres moirent Au loin Parsemant l'horizon De la semence de l'espoir
Relève le voile Qui cache tes Cieux Et regarde : L’immaculé d’un chemin S’étend à tes pieds Tout reste à Ecrire
Poser une main en peau de coeur sur l'écorce glacée de l'hêtre Morsure Le soc de l'indiférence de l'oubli arrache l'empreinte, et le sang se gèle. Brulure de froid
Se lover dans la béance des mots Tout y est possible
C’est un tourbillon le temps qui s’ouvre et mille sonnailles se hissent aux Cieux C’est un ventre creux où résonne résonnerésonnerésonne puis s’éteint l’espoir La fange des mots dédaignés recouvre la trace de nos pas .